Archive for the ‘Bibliothèque’ Category


11
décembre

Ouverture du blog Samouraïs et Mandarins

Une petite annonce pour indiquer l’ouverture du blog Samouraïs et Mandarins consacré au Japon féodal et à la Chine impériale.

Pour les mauvaises langues, il y a même un formulaires pour prévenir des mises à jour sans avoir à y aller régulièrement.

Commentaires fermés

20
juillet

Un livre qui gagne à être lu

Après de looooooooooooongues semaines sans mises à jour et alors que j’ai presque terminé mon travail estival (à savoir la création des emplois du temps des professeurs), je souhaitais vous parler d’un livre que m’a fait découvrir mon camarade Stéphane.

Je ne connaissais pas l’auteur mais d’après Stéphane, Jean-Philippe Jaworski est le créateur d’un jeu de rôle dont le thême des Guerres de Religions m’est cher : Te Déum pour un massacre. Hélas quand j’ai voulu me procurer ce dernier, il était épuisé.

Ce livre fut pour moi un grand plaisir. Alors que je suis souvent déçu par la forme « nouvelle », je dois dire qu’ici le résultat est magnifique.

La trame globale est la découverte d’un monde médiéval teinté de fantasy. Mais une fantasy très discrète beaucoup moins présente que dans les livres de Pierre Pevel par exemple. Cette découverte s’effectue au travers de personnages très attachants et qui, lorsque vous aurez lu ce livre, resteront dans vos mémoires. Les nouvelles sont empreintes d’aventures, de mélancolie, d’humour et j’avoue qu’aucune d’entre elles ne m’a déçu ce que je considère comme un véritable exploit.

Au total, lisez ce livre, je suis sûr que vous ne le regretterez pas. Personnellement, je viens de me procurer le premier roman de l’auteur avec un sentiment mitigé : celui de l’impatience de retrouver son monde qui m’a tant plu et celui de la crainte d’être déçu.

Vous pouvez vous faire une idée également de Janua Vera en lisant la chronique de Stéphane sur Cité en jeux. Quant au livre « Gagner la guerre », Stéphane a été plus rapide à le lire que moi et il vous donne son avis ici.

2
décembre

Romans napoléoniens

Comme je vous l’avez dit dans mon précédent article, les quelques mois loin du blog ont été pour moi aussi l’occasion d’avancer en lecture. Pour ce billet, et à l’occasion de l’anniversaire de la victoire d’Austerlitz ( pour le sacre de 1804 et de 1852 ainsi que le coup d’état de 1851, je laisse à d’autres le soin, s’ils le souhaitent de les fêter préfèrant me consacrer à la mémoire des soldats ) je vais vous présenter deux ouvrages lus avec des plaisirs très divers.

Le premier livre présenté est un roman d’Hubert Monteilhet. L’auteur n’est pas un inconnu pour moi puisqu’il avait commis un bon livre : »Néropolis ». Dans cet ouvrage sous-titré de manière attirante « Roman des temps napoléoniens », on suit un jeune noble émigré jusqu’alors dans les tourments de l’histoire de Napoléon I°, du consulat à la fin de l’Empire. Autant le dire tout de suite : je me suis ennuyé. Le roman n’est pas vraiment à la hauteur de ce que j’espérais. Très décousue, c’est une histoire très vite oubliée. Le seul intérêt que j’y ai trouvé est un portrait de Napoléon qui sort des sempiternelles hagiographie que nous lisons régulièrement.

Le deuxième ouvrage sur la même période est un livre d’Olivier Barde-Cabuçon aux éditions France Empire.

Cette fois-ci l’auteur est un inconnu pour moi et pourtant le pavé est attirant. Un pavé pourquoi ? Seulement parce que le bouquin fait quand même 630 pages. La lecture nécessite donc également quelques séances d’haltères pour pouvoir porter l’ouvrage. Mais franchement cela vaut vraiment le coup. Cette fois nous suivant 4 personnages principaux, tous membre de la grande armée. Nous avons un officier d’infanterie ( le personnage principal (Des Ronans), deux hussards ( Beau Geste et della Rocca) et une aide de chirurgien (Daphné). Je ne vous raconterais pas l’histoire pour ne pas vous gâcher le plaisir mais l’histoire est bonne et bien écrite (même si on se doute de la fin de l’ouvrage) et les évocations de la guerre d’Espagne et de la retraite de Russie sont inoubliables. Donc si vous avez économisé les 20 euros du Monteilhet, rajoutez 2 euros et achetez celui-ci. Vous passerez un bon moment.

17
juillet

La trilogie de Wielstadt de Pierre Pevel

Je vous avais promis de vous présenter la trilogie de Pierre Pevel dont le contexte est l’Allemagne pendant la Guerre de Trente ans. Chose promise, chose due.

Il faut en préambule dire que je suis un passionné du XVII°siècle en général et de la Guerre de Trente ans en particulier. Cette période est selon moi l’une des plus riches de l’histoire de l’occident. Richesse politique, richesse culturelle, richesse militaire, richesse religieuse. Une période passionnante au total.

C’est donc avec plaisir que j’ai découvert cette trilogie écrite par Pierre Pevel dont l’histoire se situe dans une petite ville allemande, Wielstadt. Le personnage principal de la série est le Chevalier Kantz. Un homme sombre, mystérieux, démoniste et exorciste. Ah oui, j’oubliais de vous dire que dans ce XVII° pevelien, les dragons existent ( du moins l’un d’eux), les nains, Satyres et fées côtoient les humains. Même si cela peut paraître étrange, les qualités de l’auteur font que tout cela passe très bien à la lecture. Voici rapidement les trois volumes :

Ce premier volume, nous présente les protagonistes principaux à travers une enquête menée par le chevalier pour arrêter une bande de goules qui sèment la terreur dans la ville. Je n’en dis pas plus pour ne pas vous gâcher le plaisir.

Ce deuxième volume confronte le chevalier Kantz à de mystérieuses ombres masquées avec comme arrière plan une farouche opposition deux sociétés secrètes : les Roses-Croix et la Sainte-Vehme.

Enfin, ce volume termine magnifiquement la trilogie. C’est le volume le plus sombre, le plus violent des trois. Un « voleur de visages » hante la ville. Le chevalier doit le trouver mais cette chasse dépassera la simple enquête pour nous permettre d’avoir de très nombreuses révélations sur son passé.

Au total, voilà une trilogie qui m’a enchanté. Je n’ai qu’un seul reproche : parfois l’auteur réutilise exactement les mêmes paragraphes pour présenter d’un volume à l’autre un personnage important. Cela m’a fait un peu pensé à du copier/coller sur un PC. Néanmoins, cela est vraiment mineure par rapport aux heures de plaisir que ce volume a pu me procurer. C’est la raison pour laquelle je vous conseille ces livres si vous aimer la période historique, les enquêtes policières avec un zeste de fantaisy

21
juin

La campagne du Mexique, épisode 1

Depuis que des discussions sur le sujet ayant eu lieu sur l’excellent forum http://jeudhistoire.free.fr, je me suis de plus en plus intéressé à une période qui m’était quasi-inconnu auparavant : le Second-Empire. Tout ceci est, en effet, dû à la rencontre sur le forum de types comme Siaba ( bon celui-là vous pouvez vous passer de le connaitre, c’est un esprit chaffouin ), Julien, Pacofeanor, Jean-Pierre et bien d’autres… tous fêlés de la période et depuis, je ne regrette pas de m’être plongé sur le sujet. Cela pour dire, qu’à cette occasion, je me suis procuré pas mal de bouquins en particulier sur la campagne du Mexique. Je m’en vais donc vous présenter un premier livre sur le sujet mais d’autres viendront.

Le premier livre que je vais vous présenter sur cette expédition est peut-être le moins connu. Il a été rédigé par Michel Zimmer à compte d’auteur. Son titre est : « Les combats au Mexique avec l’armée française et ses alliés ». Constitué de deux tomes chacun de plus de 310 pages ( 50 euros pour l’ensemble), Michel Zimmer s’est attaché à suivre les soldats au cours de cette expédition.

Le premier volume comporte une présentation générale du contexte historique et géographique. M.Zimmer brosse rapidement les caractéristiques géographiques du pays et relate rapidement l’histoire de cet état d’Amérique centrale. On peut ainsi voir que l’expédition du Mexique n’arrive pas par hasard mais qu’il y avait déjà des relations importantes entre des Européens et l’État mexicain. La toile de fond dressée, Michel Zimmer s’attache ensuite à présenter chaque unité combattante dans le reste du volume 1 et dans le volume 2.

C’est certainement ces parties qui intéresseront le plus les joueurs de Jeu d’Histoire. En effet, l’auteur s’est attaché à présenter précisément chaque régiment, chaque bataillon, à la fois dans sa composition mais également dans ses actions militaires et ses marches à travers le pays. La vie quotidienne, la nourriture, les difficultés d’approvisionnement, les maladies … tout est décrit avec précision. Si vous voulez savoir quelles furent les actions du 2° régiment des Zouaves, du 95° infanterie de ligne mais aussi d’unités moins connues telles le bataillon noir égyptien ou bien les Belges et Autrichiens qui combattirent également à nos côtés, vous pourrez vous retrouver facilement dans cet ouvrage tout ce qu’ils ont pu faire pendant la période.

Alors pour nous, les joueurs, quel est l’intérêt de l’ouvrage ? Le principal est celui de comporter l’essentiel des connaissances des combats et des mouvements des unités combattantes de cette expédition. On y trouve également, de nombreuses informations précises sur les compositions des bataillons et régiments de l’armée française, ce qui est très utile au figuriniste. Il y a quelques cartes ( trop rares à mon goût) mais pas vraiment d’indication uniformologique. Certains regretteront peut-être que les sources de l’ouvrages soient surtout des sources anciennes de la fin du XIX° et du début du XX° siècle. Personnellement, je trouve que c’est un bon ouvrage militaire. Vous pouvez directement vous le procurer chez l’auteur à l’adresse suivante : Michel Zimmer, 310 chemin de la Barre, 83000 Toulon.

Si vous avez des questions sur l’ouvrage, n’hésitez pas à me les poser dans les commentaires, je ferais de mon mieux pour y répondre. A noter que l’auteur prépare en ce moment un nouvel ouvrage sur l’expédition de Chine.

29
mai

Essling, Première défaite de Napoléon ?

Voilà le premier livre d’une collection qui s’annonce prometteuse intitulée « des batailles et des hommes » aux éditions Histoire & Collections. Ce premier livre est l’œuvre d’un auteur que les joueurs de jeu d’Histoire peuvent facilement connaitre puisqu’il s’agit de Gilles Boué lequel a contribué à de nombreuses reprises à divers sites portant sur notre passion, en particulier au site Histoire de jouer où il a créé de nombreuses planches uniformologiques sur les armées du XVIII°s.

En dehors de la grande sympathie que j’ai pour l’auteur, je dois dire que cet ouvrage m’a conquis. Pour nous joueurs de jeu d’Histoire, on ne peut rêver mieux. Dans un livre d’une quinzaine d’euros, vous trouverez, un historique complet de la bataille et de la campagne, de nombreuses cartes et shémas détaillant les opérations ou les déploiement des troupes (exemple: le déploiement de la division Molitor), une riche iconographie faite de reproductions de tableaux d’époque mais aussi de dessins d’artistes d’aujourd’hui, à quoi s’ajoutent les célèbres infographies d’André Jouineau. Enfin, les ordres de bataille très précis des deux belligérants sont également présents.

Franchement, la série Campaign d’Ospreys vient de prendre un coup de vieux. Si les autres ouvrages sont de la même trempe, voilà une collection qu’il faudra suivre. J’ai lu que les titres prévus par la suite porte sur « L’opération Goodwood » par Didier Lodieu, sur « La Normandie en 1944″ par Ludovic Fortin et un volume que j’attends avec impatience : « Fontenoy » par Denis Gandilhon.

12
mai

Opération peinture : épisode 1

Musique d’ambiance : Eye of Tiger de Survivor

Projet : peindre deux plaquettes de 10 mm pour faire taire les moqueurs. Ce sera du Français Ligue d’Augsbourg.

Sources :

- Premier livre : la base

Voilà un livre pour nous. L’auteur, le lieutenant-Colonel V.Belhomme à rédigé ce livre en 1895 et c’est un pur bonheur de le voir ré-édité par Christian Terana aujourd’hui. On y trouve tout sur le sujet !!! Des informations sur la composition, l’organisation et le fonctionnement de l’armée française à la fin du XVII° siècle. Les uniformes sont décris avec précision et les informations corrigées par l’éditeur si des découvertes infirment les propos de l’auteur. La stratégie, la tactique, les marches… tout s’y trouve. Ne le laissez pas passer car vous le regretterez si un jour vous vous intéressez à la période. Il vaut ses 25 euros.

- Les compléments :

On a toujours besoin d’un Funcken près de soi. Même s’il faut parfois prendre les infos avec des pincettes c’est toujours bien d’avoir un visuel.

Même remarque que pour le Funcken. J’ai une édition plus ancienne quant à la couverture mais cela reste valable pour le texte et les illustrations.

- Sur le web :

Nec Pluribus Impar : un site incontournable et en français !!! Oui, Monsieur !!! Bon c’est juste pour rappeler l’existence de ce grand site car il est surtout constituer d’élément concernant la Guerre de 7 ans mais on peut y trouver des ordres de batailles pour la période.

NYPL Digital Gallery : Là aussi un grand site avec quelques illustrations qui nous seront utiles pour le projet.

Je chercherais ensuite des images de figurines peintes sur certains sites de fabricants (n’hésitez pas à m’indiquer des adresses en commentaires pour compléter mes sources).

Objectif préparation : objectif atteint !!!

Episode 2 : Le choix du régiment ( à suivre)

24
janvier

Je vais tuer Napoléon !

A défaut de vous montrer mes peintures, je continue à vous faire profiter de mes lectures. Le titre de l’article ne correspond pas à l’une de mes volontés profonde mais au titre d’un petit livre sympa de Jean-Louis Vissière publié en poche aux éditions Labyrinthe.

Dans cet ouvrage l’auteur a eu la bonne idée de relater sous forme de nouvelles les diverses tentatives d’assassinat contre la personne de l’Empereur. On a donc des récits très divers depuis celui, pour les plus connus, d’un jeune exalté allemand (l’attentat de Staps) ou d’un futur moine exilé aux Etats-Unis (attentat de la rue Saint-Nicaise particulièrement horrible). Au total on constate que Napoléon a suscité des volontés de meurtres de tous bords : chez les jacobins, chez les royaliste, chez les nationalistes et même après son exil sur l’ile de Saint-Hélène il suscite encore des tentatives pour le faire rejoindre l’outre-monde. C’est pas une vie, ma brave dame.

Un livre à lire même si la période n’est pas votre tasse de thé ( oui, oui, Walktapus, tu pourras même t’identifier à tous les personnages parricides) .

21
janvier

Arretez tout !!! Lisez ce livre…

Acheté il y a quelques années dans sa version grand format, et après une première tentative de lecture avortée (ce n’était pas le moment sans doute), je viens de reprendre ce livre de Steven Pressfield intitulé « Les murailles de feu ». J’en sors avec un mélange de joie et de tristesse mélancolique.

La joie tout d’abord, d’avoir lu un grand roman. Un livre épique et fort. L’histoire relate la bataille des Thermopyles. Encore une fois me direz vous. Oui mais de quelle façon !!! Cette bataille ne couvre d’ailleurs pas l’ensemble du livre car la première partie est consacrée à la société spartiate. J’avoue avoir, au cours de mes études d’Histoire, eut beaucoup de réserves vis à vis de cette société militariste, dure et intransigeante. Une vision certainement dûe à la lecture d’auteurs athéniens dont Sparte constituait l’ennemi héréditaire de la cité d’Athènes. Pourtant ce livre m’a fait mieux comprendre ce que pouvait être la société lacédemonienne. Certes je n’ai pas les capacités pour savoir si la description correspond à la réalité mais elle me parait plausible.

Le roman raconte l’histoire de Xeon qui choisit Sparte après que son village fut détruit. Il est alors attaché à un soldat qu’il va suivre jusqu’aux « portes chaudes ». Nous connaissons son histoire car, seul survivant de la bataille, il fut recueilli par Xerxes qui lui demanda de relater son périple.

Je vous ai dit que j’etais partagé entre la joie et la tristesse à la fin de cette lecture. Vous avez compris que la joie venait du récit et de ses qualités descriptives. La tristesse vient justement du fait que je viens de terminer ce livre. Je ne sais si cela vous arrive mais parfois à la lecture d’un livre lorsque la dernière page est achevée on regrette de n’avoir pas plus à lire, on envie ceux qui ne connaissent pas l’ouvrage et qui vont le découvrir. Je vous envie vous qui allez plonger dans ce livre, dans cette société, dans cette amitié. Vous qui allez croiser pour la première fois Xeon, Deniekès, Alexandros, Polynice…

Bonne lecture…

12
janvier

Une nouvelle revue en kiosque

Alors que sur le forum jeudhistoire plusieurs discussions portent sur le sujet, j’ai eu le plaisir de trouver en kiosque une nouvelle revue portant sur le Second Empire, intitulée Napoléon III.

Cette revue est éditée par ceux qui font la revue Napoléon 1° à ne pas confondre avec la revue noire appelée Napoléon ces derniers faisant l’excellent Soldats napoléoniens ( vous me suivez toujours ?).

Alors que dire sur cette nouvelle revue pour nous joueurs de jeu d’Histoire ? Tout d’abord deux sujets nous interressent particulièrement. Un premier article d’Alain Gouttman sur la Guerre de Crimée et un deuxième sur une unité emblématique de l’époque : les Zouaves.

L’article d’Alain Gouttman constitue le coeur de la revue et compren une quarantaine de pages dotées d’une très jolie iconographie. C’est d’ailleurs l’un des principaux interêt pour ceux n’ayant pas lu son excellent ouvrage sur le même sujet paru chez Perrin ( une édition poche vient d’ailleurs de sortir). Sinon, c’est également un bon résumé de ce conflit, de ces causes et conséquences pour ceux ne souhaitant pas se jeter dans le pavé cité précédemment.

Le deuxieme article interessant directement le figuriniste que je suis porte sur les Zouaves. Seulement 6 pages hélas mais ecrites par Louis Delperier l’un des spécialistes du sujet. Quelques belles photos mais on aurait aimé davantage.

Donc au total un bon premier numero qui cependant me laisse un peu sur ma faim à cause de son prix. En effet, le cout de la revue est de 9.90 euros pour 83 pages. Même si je fais retrograde cela fait quand même plus de 65 francs pour une revue. A ce prix là j’aurais espéré davantage. Hélas ces prix mirobolants pour les revues ne sont plus exceptionnels. La qualité est peut-être meilleure que les anciennes revues ( papier glacé, quadrichromie…) mais cela reste trop cher à mon avis.